assainissement

Chers concitoyens du Grand Lomé,

Nous vivons dans une ville magnifique, vibrante et pleine de potentiel. Cependant, comme beaucoup de centres urbains dynamiques, nous faisons face à un défi majeur : la gestion de nos déchets. La quantité de déchets que nous produisons chaque jour a un impact direct sur notre environnement, notre santé et la beauté de notre ville. C'est pourquoi il est plus que jamais essentiel de parler du tri des déchets et de la valorisation, en particulier celle des plastiques.

Pourquoi trier nos déchets ? C'est plus simple que vous ne le pensez !

Le tri des déchets à la source, c'est la première étape indispensable pour une gestion efficace. En séparant nos déchets en différentes catégories (plastiques, verre, papier, organique, etc.), nous facilitons grandement leur traitement ultérieur. Cela permet non seulement de réduire le volume des déchets envoyés en décharge, mais aussi de préserver les ressources naturelles.

Une opération de salubrité publique a eu lieu, le 23 décembre, dans plusieurs endroits de la ville de Lomé. Il s’agit de la marie centrale, de la Direction des Services Techniques (DST), de la Direction des Affaires Financières (DAF) et du service des recettes. Cette initiative a été organisée par l’Organisation Non Gouvernementale (ONG) Amis de Poubelle (ADP) pour mettre au propre lesdits lieux et souhaiter bonnes fêtes de fin d’année à tous dans un cadre sain.

Le 14 décembre 2010, eu lieu au marché d’Ahepe, une cérémonie d’inauguration de latrines publiques. Le Chef du canton d’Ahepe, Togbui ASSIGNON Frédéric III souhaita la bienvenue aux personnes présentes à la cérémonie. Ensuite, le président du Comité Cantonal de Développement (CCD) d’Ahepe, M. BOKO Lambert, fit son allocution de bienvenue et remercia AGAIB et Amis de Poubelle (ADP) pour les 8 cabines. Une visite générale des installations eu lieu pour constater l’état des latrines. Parole fut ensuite laissée au public qui manifesta sa joie par rapport à la réalisation. Le président du CCD soumis, en fin de compte, les remarques et soucis d’amélioration qu’il y aurait pu avoir sur l’œuvre puis, on passa à la signature des procès verbaux.